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Kaolack: atelier de mis à niveau sur la loi Agro- Sylvo –Pastoral, la population sensibilisée
Dans le cadre de la révision de la loi Agro- Sylvo -Pastoral (LOASP) un atelier de consultation citoyenne s’est tenu ce Mercredi au Conseil départemental de Kaolack. Un moment d’échange et de partage selon Nazirou Sall, président du conseil d’administration du CNCR qui estime que cette rencontre permet d’effectuer et d’améliorer la loi Agro- Sylvo –Pastoral.
« Nous demandons qu’on applique la loi, qu’on nous reconnaisse, en tant que responsable de ce métier, ça nous amènerait à avoir des droits et des devoirs dans ce pays, ça garantirait une protection sociale qui nous permettra d’avoir une retraite assurée et se soigner plus facilement. Nous demandons également un plan d’investissement qui pourra accompagner l’application de cette loi . Sur le plan de la révision de la loi, nous avons demandé que c’était un loi qui était concentré sur les activités agricoles et agro pastoraux et que l’on ajoute l’halieutique, d’intégré la stratégie de l’empois des jeunes, d’être plus précis sur les principes de la réforme foncière mais aussi qu’il est un plan d’investissement qui accompagnera la faisabilité, qu’il est une préparation des projets d’écris qui permettrons à la sortie de cette loi d’ être appliquée » , a expliqué Nazirou Sall
« Cependant, depuis son adaptation en 2004, il y’a des choses qui ont été appliqué pendant les vingt ans mais reste des éléments et des défis à relever dans le titre deux de la loi, l’organisation, la reconnaissance des métiers de l’exploitation familiale de la question de la protection sociale. Ces derniers sont en train de négocier sur des décisions fortes qui accompagneront les activités Agro –Pastoral, sur le placement de l’agriculture et sur quoi on devrait appliquer les statuts et la reconnaissances les métiers très rapidement. Une occasion de regrouper 150 représentants, d’organisations paysannes, de la société civile, des élus locaux, du secteur privé, des institutions financières, des chercheurs et des médias », a-t-il conclu.
Ndeye Maty GUEYE